Candidats UNSA 2022
Notre dernière vidéo des élections 2022 : présentation de nos listes de candidats CST et CAP
Revendications et actions du syndicat UNSA de la mairie et du CCAS de la ville de Villeneuve d'Ascq. ___________________________________________________________________________________ Les informations prises sur ce blog restent sous la responsabilité de ceux qui les utilisent.
Venez boire une boire une soupe à l'UNSA !
Vous pourrez :
- rencontrer vos représentants du personnel actuels et nos candidats aux élections du 8 décembre 2022
- regarder nos vidéos d'information (GP2T, maintien de salaire, promotions CAP) et nos vidéos pour les élections 2022 (le teaser du retour, les épisodes du retour aux urnes 2022)
- vous renseigner sur les enjeux des élections professionnelles avec comme toujours, pour l'UNSA Villeneuve d'Ascq, c'est le local d'abord !
- échanger avec nous sur les problématiques actuelles de notre administration (GP2T, 1607H, télétravail, RIFSEEP, QVT, ...)
- passer un moment convivial avec notre petite restauration offerte (soupes, accompagnements, café, thé, etc..)
Nous vous attendons nombreux.
Votre absence peut être couverte par l'article 6 du décret 85-397 qui vous autorise à une heure d'information syndicale mensuelle cumulable par trimestre.
(il vous suffira de badger à l'espace 75 en arrivant et en repartant car il y a une pointeuse dans le hall).
UNSA élections 2022 épisode 2
Notre série UNSA 2022, le retour aux urnes : épisode 2
Vidéo GP2T aide
Notre nouvelle vidéo d'information est disponible.
Il s'agit d'aide à l'utilisation de la GP2T, en particulier du logiciel Horoquartz.
ICI :
https://www.youtube.com/channel/UCNxAm20CZ9URJf1x0RtqvVg
Cher(e)s collègues,
Beaucoup d’entre vous nous ont fait remonter les soucis qu’ils rencontrent avec leur GP2T suite à l’application des 1607h au 1er janvier 2022.
La DRH elle-même reconnait dans son mail du 9 mars 2022 les dysfonctionnements du système dont les raisons sont multiples et indique que la situation va bientôt s’améliorer.
Pour autant, nous sommes en avril et la gestion quotidienne du temps reste laborieuse pour beaucoup d’agents :
Le profil horaire hebdomadaire n’est pas toujours approuvé
Le reliquat 2021 des congés annuels et des RTT n’est pas connu, ce qui peut conduire à les perdre s’ils ne sont pas posés avant le 30 avril 2022
Un nouvel horaire avec des RTT ne permet pas forcément de poser ces jours
Etc…
Si vous rencontrez toujours des problèmes dans ce domaine, n’hésitez pas à nous contacter pour nous en faire part, nous les synthétiserons et les communiquerons à la DRH pour appuyer leur traitement.
Dans l’attente, pour améliorer la gestion du temps des agents de la collectivité, nous demandons à l’administration :
De reporter au 30 juin 2022 la possibilité de poser les reliquats de congés 2021
De valider au plus vite les profils horaires hebdomadaires des agents pour qui ce n’est toujours pas fait
D’informer les services des subtilités de fonctionnement issues de l’application des 1607h en accompagnant les agents et les correspondants RH
D’autoriser la prise de RTT pendant l’été
D’apporter un soutien, un renfort au service chargé de la gestion du temps, car nous sommes conscients de ses difficultés eu égard à sa charge de travail importante
De fournir un bilan de la mise en œuvre de la GP2T avec des statistiques de fonctionnement à l’aide d’extractions des données pertinentes, globales et non nominatives
De présenter et de débattre de ce bilan dans le cadre d’un groupe de travail sur la GP2T afin de l’améliorer et d’apporter enfin la souplesse et l’équité promises.
Nous restons à votre disposition pour tout échange à ce sujet.
Lors du rassemblement des ATSEM devant l’hôtel de ville, le 21 janvier.
Virginie Boulet |
L’intersyndicale avait déposé un nouveau préavis de grève au retour des vacances de février. Mais plutôt que de laisser s’organiser une sorte de grève tournante, avec des débrayages quotidiens par grappe d’environ cinq écoles, les représentants du personnel ont cette fois proposé à tous les agents de se mobiliser le même jour, ce vendredi, donc.
Près de la moitié d’entre eux se sont déclarés grévistes et 21 restaurants scolaires seront fermés.
Un message a aussi été adressé à tout le personnel municipal, appelé à se joindre aux grévistes en signe de solidarité devant l’hôtel de ville, ce 25 mars à midi. Une date pas choisie au hasard : ce vendredi, cela fera tout juste cinq mois que les personnels doivent composer avec Sogeres, le nouveau prestataire de la restauration collective. « Et cinq mois après, des problèmes subsistent, raconte Marc Baillieux, porte-parole de l’intersyndicale. On constate encore des retards de livraison, obligeant le personnel à servir des repas froids, faute de temps pour les réchauffer. Cette situation exaspère les agents. Au début, notre employeur leur a demandé d’être patients ; aujourd’hui, il leur demande de former le personnel de Sogeres ! Ce n’est pas leur boulot », pointe le syndicaliste.
Mais pour ce dernier, la colère s’explique surtout par la question de la rémunération, et le refus de l’équipe du maire Gérard Caudron d’entamer des discussions à ce sujet. C’est toujours à cette condition que le préavis de grève sera suspendu.
suite du mouvement de grève dans les écoles situation au 23 mars 2022
Le maire refuse de négocier sur la rémunération mais décide de limiter le droit de grève par l'encadrement possible depuis 2019 (mais non obligatoire dans les collectivités territoriales ) du droit de grève
Rassemblement des agents sur le parvis de l'hôtel de ville
le vendredi 25 mars à midi
historique du mouvement : ici
Le rassemblement des agents des écoles du 21 janvier 2022
Grève des agents des écoles villeneuvoises: elle sera suspendue… si on parle de «sous»
Lors du rassemblement qui s’est tenu ce vendredi midi au pied de l’hôtel de ville, l’intersyndicale a fait le point sur ce qui était sorti de la première réunion de négociation avec les élus de mercredi. Elle note « des avancées » mais attend de la ville une prime et des revalorisations.
article Voix du Nord Virginie Boulet | Publié le 21/01/2022
Il y avait moins de monde qu’avant les vacances de Noël, ce vendredi midi, devant l’hôtel de ville. Mais cette mobilisation en baisse pourrait être provisoire, selon les syndicats.
Ce vendredi midi, il y avait nettement moins de monde que lors de la manifestation qui avait été organisée à la veille des vacances de Noël. Moins de grévistes, mais plus d’élus, représentant tous les groupes du conseil municipal, et Françoise Martin, l’une des adjointes en charge des négociations, qui s’est exprimée, après que les responsables syndicaux ont fustigé le maire et son attitude inflexible, puis détaillé avec précision leurs revendications.
Il sera possible d’amener des sandwichs à l’école
De la prise de parole de Françoise Martin, les parents d’élèves retiendront d’abord que les familles qui n’ont aucune solution pour faire manger leurs enfants le midi seront autorisées à ramener des sandwichs. « Ce n’est pas un service minimum, a insisté l’élue. Mais dans le contexte de pandémie, avec des employeurs qui ne veulent plus accorder de jours pour garde d’enfants, des gens qui perdent même leur travail, et des enfants qui ne sont plus scolarisés depuis lundi, on ne peut pas rester sans rien faire ».
En face, les grévistes n’ont rien trouvé à redire à cette décision. Mais le reste du discours ne les a pas complètement satisfaits. D’ailleurs, dans l’après-midi, après avoir consulté les agents, l’intersyndicale a à son tour fait des propositions. Oui à des groupes de travail sur les principales problématiques, mais les représentants du personnel « souhaitent y participer dans un premier temps pour amorcer le dialogue ». Ils veulent aussi un calendrier, permettant que tous les sujets soient examinés avant la mi-mars.
Une prime exceptionnelle : possible, ou pas ?
Mais le point d’achoppement reste les questions de rémunération. Françoise Martin estime impossible, d’un point de vue législatif et réglementaire, l’octroi d’une prime exceptionnelle. « Nous, nous pensons qu’il est possible pour la mairie d’octroyer une prime exceptionnelle eu égard à la libre administration des collectivités territoriales, insiste l’intersyndicale. C’est une question de volonté. De plus cette possibilité n’est pas la seule sur le point financier. Nous pensons à la nécessaire révision de la cotation des postes des agents des écoles et à la revalorisation de la prime de fin d’année, comme cela était prévu lors la mise en place du régime indemnitaire en 2017 selon une clause de revoyure tous les quatre ans. Quatre ans, on y est ! ».
Si la ville s’engage à échanger et négocier au sujet de la rémunération, la grève pourrait être suspendue. Pour l’heure, le préavis court toujours.