Nous vous remercions pour votre réponse, la prise en compte de notre suggestion et son envoi rapide aux membres du Codir.
Nous souhaitons toutefois y apporter une précision.
Nous nous posons la question
sur les raisons qui poussent certains chefs de service à agir
actuellement de la sorte ou dans l'urgence :
- certains sont-ils trop "zélés" ?
- d'autres n'en font-ils qu'à leur tête ?
- sont-ils perdus dans cette nouvelle situation ?
- sont-ils en manque d'informations et de directives claires ?
C'est surtout cette dernière hypothèse qui nous interpelle.
En effet, nous avons évoqué à
plusieurs reprises la nécessaire progressivité du déconfinement et les
risques d'une reprise dans la précipitation.
Dans quel cas sommes-nous ?
Nous pensons que l'efficacité
de cet exercice qui nous est imposé doit être basée sur la mise en
place par l'administration (la direction) d'un plan de reprise
d'activités délimité, unique, planifié et communiqué,
le tout défini dans le cadre d'un arbitrage politique tout aussi lisible
et réaliste.
Car si ces deux aspects ne
sont pas présents, et même si c'est bien aux chefs de service à (faire)
respecter et à appliquer ce cadre et ces consignes, ils ne doivent pas
être tenus pour seuls responsables des éventuels
écarts au respect des consignes sanitaires indispensables dans cette
pandémie.
Nous tenions à le préciser.